samedi, 27 septembre 2008
Solaris
Tu te souviens de la voix recréée hors de toi
L'enfance au bout des doigts ...... la peau doublée plus loin
Plus loin l'image de tes yeux derrière tes yeux
Clos
S'absente .... tu étais vol au dessus
Des mares de glace proche du sommeil
Vol au dessus statues ravies vite défaites
Tombées
Les traces au seuil portes ouvertes
Portes fermées comme l'irrigation séculaire
De ta langue pulmonaire
Charbon
Remué et charrié jusque dans le ventre
A l'abri de l'écume tu étais toi
Et toi à l'aller sombre ..... toi dormant
Scelle le temps
Bernini, détail, Sainte-Thérèse
08:23 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, poésie, juliette guerreiro, bernini
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