samedi, 28 octobre 2006
La profondeur du sentiment pour sillon
Une fois le chandail ôté, l'offrande d'une poitrine rouge
Conséquence possible d'un coup de soleil,
Trace probable d'une vieille peinture de guerre
Une fois notre chant sur pilotis
suspendu entre brume et feutre
la profondeur du sentiment pour sillon
Que savoir d'autre de la vie ?
Jean Azarel, extrait de Passage du mortel
Yves Klein
21:20 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, poésie, Jean Azarel, Yves Klein
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