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samedi, 25 octobre 2008

Dernière séance ce soir pour "Bagdad mon amour"

BAGDAD.jpgVoir ici

jeudi, 09 octobre 2008

Bagdad mon amour

BAGDAD2.jpg

UNE PRODUCTION AMADEE

 

BAGDAD MON AMOUR

Diptyque

UN MONDE (QUI) S’EFFACE

de Naomi Wallace

traduction : Dominique Hollier

 

LES AMANTS DE BAGDAD

de Jean Reinert

adaptations : Flavio Polizzy

conception et mise en scène Flavio Polizzy avec Astrid Cathala et Abder Ouldhaddi

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Lumières : Christophe Mazet – Réalisations scénographie : Anne de Crecy & Gérard Rongier

Vidéo : Fred Ladoué

Du 14 au 25 octobre 2008

Au Théâtre du Hangar

Centre d’art et de recherche

Montpellier

Mardi, vendredi, samedi à 20h45, mercredi, jeudi à 19h, dimanche à 17h 

Première partie : Un monde (qui) s’efface de Naomi Wallace

Texte Français de Dominique Hollier - n’existe que sous forme de manuscrit.

 Un jeune Irakien, Ali, dans l’Irak de l’après-guerre, se sépare de ses oiseaux et de sa bibliothèque. Il vend ces biens précieux pour pouvoir trouver de quoi se nourrir, ou espérer se procurer de l’aspirine. C’est l’époque où la guerre des bombes fait place à celle de l’embargo, où le manque de produits médicaux et alimentaires affecte l’ensemble de la population civile.

Depuis la dernière exposition avicole internationale de Bagdad, Ali ne peut plus entraîner ses pigeons et tourterelles, il doit s’en séparer, … Mais ce choix se fera en dernier recours, après avoir écoulé sa bibliothèque généreuse, où Shakespeare, Hemingway et Becket sont rangés à côté de poètes classiques et contemporains de langue Arabe, Al – Sayab, Kanafani, Darwich… La passion d’Ali pour les oiseaux , Columbia Livia et Zenaide Macroure, pigeon commun et tourterelle triste, est l’occasion de citer Henry Wadsworth Longfellow, poète romantique américain, dont on dit qu’il écrivait comme chantent les oiseaux…

Deuxième partie : Les amants de Bagdad de Jean REINERT

Adaptation : Flavio Polizzy

 Bagdad, avril 2003. La capitale irakienne s’apprête à subir une guerre imminente. Une terrasse dans la ville, espace posé tel un échelon entre ciel et terre, sert de point de rencontre à deux jeunes amants. Lui est palestinien, voyageur et poète, il déclame des vers d’Abû Nuwâs, d’Al-Maari, de Samih Al- Qassim… Elle est étudiante en lettre classique et fougueuse lectrice de poésie.

Tel un orage de feu qui gronde et menace, nos deux protagonistes semblent hors du temps, suspendus entre un conte ancestral des Mille et une Nuits et une guerre technologique dernier cri.

Production Cie Amadée. Coproduction Théâtre du Hangar –Cie Jacques Bioulès