mardi, 15 février 2022
On ne peut jamais se connaître, on peut seulement se raconter
Simone de Beauvoir. La force des choses
Photo de William Neill
18:47 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : simone de beauvoir, william neill
Marilyn Monroe par Henri Cartier-Bresson
18:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marilyn monroe, henri cartier-bresson
Avis de tempête
David Kenealy
18:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : david kenealy
Les arbres, toujours les arbres...
David Kenealy
18:38 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : david kenealy
Alfred Hitchcock and Tippi Hedren by Lawrence Schiller
18:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alfred hitchcock, tippi hedren
samedi, 12 février 2022
Ecosse toujours
Robert Kelly
18:42 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : robert kelly
Mark Littlejohn
18:39 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mark littlejohn
Robert Doisneau
18:38 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : robert doisneau
Château de Versailles
18:36 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : château de versailles
vendredi, 11 février 2022
Idrus Arsyad
19:31 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : idrus arsyad
Portrait of a girl (Victoria), 1917, Modigliani
19:26 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : modigliani
Tommy Bui
19:24 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tommy bui
jeudi, 10 février 2022
La danse des arbres
Alfred Eisenstaedt , St. Moritz, Suisse, 1947
09:31 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alfred eisenstaedt
Mystères de la pierre
09:26 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0)
Gerrit Dou, Chien au repos, 1650
09:25 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gerrit dou
mercredi, 09 février 2022
Le grand pow-wow de la lumière
La neige vint cet hiver-là, en brouillard qui apaise les contours. La mer était grise, grise et blanche. Des nuées de mouettes voletaient en rangs serrés au-dessus de l’eau. Quelques pas derrière, les flamants, suspendus, jetaient des taches roses sur le vert des étangs. Je marchais de longues heures jusqu’à la cathédrale de Maguelone. Les étangs offraient leur placidité sauvage, le silence retenu de ce qu’était le rivage autrefois, maintenant oublié, à peine ridé par le vent du Nord. Puis arrivait un soleil éclatant, avec les passants, incongrus, lointains dans ce désordre de couleurs. Le grand pow-wow de la lumière.
Raymond Alcovère, extrait de "Le bonheur est un drôle de serpent", roman, 2009, éditions Lucie
Photo : Ni Houzel Belliappa
09:49 Publié dans Le Bonheur est un drôle de serpent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le bonheur est un drôle de serpent
lundi, 07 février 2022
Yvonne Oddon
7 février 1942. Condamnée à mort. La bibliothécaire du Musée de l'Homme, en lutte dès l'été 1940. C'est elle qui donna le nom au journal du réseau : "Résistance". 1er éditorial : "Résister, c’est déjà garder son cœur et son cerveau". Elle survivra à 3 ans de camps. Yvonne Oddon
12:28 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : yvonne oddon
dimanche, 06 février 2022
Jordan Pellant
23:00 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jordan pellant
Rembrandt, vieil homme en prière
10:04 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rembrandt
samedi, 05 février 2022
Les jours sont ronds
«Les jours commencent et finissent dans une heure trouble de la nuit. Ils n’ont pas la forme longue, cette forme des choses qui vont vers des buts : la flèche, la route, la course de l’homme. Ils ont la forme ronde, cette forme des choses éternelles et statiques : le soleil, le monde, Dieu. La civilisation a voulu nous persuader que nous allons vers quelque chose, un but lointain. Nous avons oublié que notre seul but, c’est vivre et que vivre nous le faisons chaque jour et tous les jours et qu’à toutes les heures de la journée nous atteignons notre but véritable si nous vivons. Tous les gens civilisés se représentent le jour comme commençant à l’aube ou un peu après, ou longtemps après, enfin à une heure fixée par le début de leur travail ; qu’il s’allonge à travers leur travail, pendant ce qu’ils appellent « toute la journée » ; puis qu’il finit quand ils ferment les paupières. Ce sont ceux-là qui disent : les jours sont longs. Non, les jours sont ronds.»
Jean Giono
20:46 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean giono