lundi, 17 juillet 2006
La liberté de dire et d'écrire ce que nous pensons
"La liberté de dire et d'écrire ce que nous pensons est une faveur trop précieuse pour ne pas provoquer la jalousie du destin" : Alina Reyes note cette phrase de Julien Green dans son Journal, une de ces phrases - et ça a été le cas pour elle - qui relancent l'écriture d'un texte, comme la clé magique qu'on attendait au bon moment pour continuer d'avancer. Celle-ci est parfaite justement, forte, énigmatique, elle ouvre des espaces, donne envie de lutter justement, de plonger dans ce mouvement d'adhésion et de combat simultané qu'est l'écriture.
11:44 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Julien Green, Alina Reyes, écriture, liberté
Commentaires
La liberté de dire ou d'écrire ce qu'on veut est tout de même un peu "rogné" depuis quelque temps !
Penser ce qu'on veut est bien la seule chose qu'on ne pourra jamais nous enlever !
Écrit par : khate | lundi, 17 juillet 2006
Ce doit être un aiguillon, le fait qu'elle soit rognée !
Écrit par : Ray | lundi, 17 juillet 2006
Bsr amigo!
Le soleil se couche sur Positano et ses rochers dentelés. Une franche lumière teinte de reflets amarante les murs de la petite église où nous prenons un verre ton héros, son amie et moi. Raphaël vogue vers les terres rouges du Yemen.
Je n'ai pas envie de quitter ce coin de paradis, cette sensation de liberté.
Merci de m'avoir redonné envie de revoir la côte amalfitaine, Naples et ses ruelles que j'ai parcouru il ya plusieurs années de cela, pas en amoureux, je te rassure. Ton style est pur, frais comme de l'oxygène naissant. Je te l'ai déjà dit. inutile de le rappeller. Qui n'ont pas lu"fugue baroque" jamais ne verront ailleurs une "enluminure" aussi belle, un texte qui respire autant de liberté et de lumière; l'amour et la joie de vivre ont depuis le 18e siècle pour nom Naples et sa baie, ses ocres roses et sa lumière qui excède, de tarlatane, orgiaque, qui épouse les courbes des collines, rend fous les amoureux, distille un vin intérieur capiteux.
Je reste à quelques jours à Positano avant d'aller à la Roque d'anthéron. A bientôt, amigo!
Écrit par : Bona | lundi, 17 juillet 2006
Yep ! Tu sais qu'on a de jolis concerts à Montpellier, je viens de voir tout à l'heure Alexis Volodin au piano, sublimissime !
Bon festival !
Écrit par : Ray | lundi, 17 juillet 2006
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