Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 12 mai 2006

Le corbeau

Et le corbeau, immuable, est toujours installé sur le buste pâle de Pallas, juste au-dessus de la porte de ma chambre; et ses yeux ont toute la semblance des yeux d'un démon qui rêve; et la lumière de la lampe, en ruisselant sur lui, projette son ombre sur le plancher; et mon âme, hors du cercle de cette ombre qui gît flottante sur le plancher, ne pourra plus s'élever, - jamais plus!
Edgar Poe (traduit par Charles Baudelaire)

Commentaires

Correspondances entre l'acuité poétique et la vacuité politique.

On nous joue Maverick, vous sortez un classique.

Bien vu.

Écrit par : Qwyzyx | vendredi, 12 mai 2006

Ce n'est pas une question de manque de Poe !

Écrit par : Ray | vendredi, 12 mai 2006

Ah, oui... De l'Edgar Poe traduit par Baudelaire, quelle splendeur, toujours...

Écrit par : Chut | samedi, 13 mai 2006

Les commentaires sont fermés.