vendredi, 13 janvier 2006
Comme c'est amusant...
Comme c'est amusant, les secrets d'Etat vingt ans après. Comme elles sont détendues, les discussions. Comme tout cela est fun. Comme elle est goûteuse, la liberté de la presse...
A lire ici le toujours excellent Daniel Schneidermann : la veillée mortuaire de Mitterrand
11:50 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
Il a quand même réussi à écrire toute une page pour nous dire qu'il n'y avait rien à raconter.
Très belle description, presque littéraire, romanesque.
Mais au point de vue informatif, c'est un peu juste.
C'est cela qui est désolant chez les journalistes français. Il faudrait les payer pour l'information et non au mot. A moins qu'ils ne se résolvent à devenir écrivains et cessent d'encombrer les bancs de Sciences Po et remettent eu goût du jour les études littéraires.
Sacré Daniel. C'est comme Elkabach, Giesbert, Colombani, et autres. Le vibrato de l'édito lyrique, l'insolence en guise de courage, mais j'ai oublié la dernière fois où ils nous ont donné une information intéressante. Ce n'est pas l'occasion qui manque, en France, avec tous ces scandales... Mais non, jamais eux, toujours des Free Lance. Amusant non ?
Mais bon, moi ce que j'en dis...
Écrit par : Qwyzyx | vendredi, 13 janvier 2006
Oui il y a du vrai dans ce que vous dites ! D.S. n'est pas un révolutionnaire nous sommes d'accord, ce n'est pas lui qui fera s'écrouler l'empire, mais sa plume est assez solide (le petit paragraphe sur Mazarine est savoureux !) : malgré ses limites, l'angle qu'il a choisi (les médias) s'avère intéressant : braquer son regard sur la caméra en quelque sorte (avec un minimum de finesse) est révélateur, c'est un point-clé !
Écrit par : Ray | vendredi, 13 janvier 2006
Beurk tout ça. Rien à foutre. Ni à branler. Même pas à gerber.
La CB, ça se digère.
On a tous les politiciens qu'on a mérité et les dictateurs qu'on n'a pas voulu.
Ce n'est pas de moi, c'est un mélange de choses lues.
Mais en politique, le pur d'aujourd'hui est le blet de demain et le pourri d'après-demain.
Écrit par : Rick Hunter - Président des Saoulréalistes du Hainaut | vendredi, 13 janvier 2006
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