Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 13 novembre 2005

Piero della Francesca

Rien de plus apaisant que les fresques de Piero della Francesca. Comme Cézanne il a poursuivi un chemin solitaire, sans chercher la gloire ni la protection d’hommes influents, préférant la poursuite de l’œuvre aux intrigues du monde. Reste la plénitude, un sentiment d’éternité, l’ensorcellement. Personne n’a imprimé à ses personnages autant de grâce, de sérénité sur les visages, jamais on n’a pu lire une telle absence d’anxiété jusque dans les scènes de violence, de guerre.

 

Commentaires

As-tu lu le livre de Christian garcin sur lui Ray?

Écrit par : Calou | dimanche, 13 novembre 2005

Non, lequel ?

Écrit par : Ray | dimanche, 13 novembre 2005

Piero ou l'équilibre, L'Escampette, 2004

Écrit par : Calou | dimanche, 13 novembre 2005

Merci, un éditeur intéressant en plus !

Écrit par : Ray | dimanche, 13 novembre 2005

Les commentaires sont fermés.