dimanche, 13 novembre 2005
Piero della Francesca
Rien de plus apaisant que les fresques de Piero della Francesca. Comme Cézanne il a poursuivi un chemin solitaire, sans chercher la gloire ni la protection d’hommes influents, préférant la poursuite de l’œuvre aux intrigues du monde. Reste la plénitude, un sentiment d’éternité, l’ensorcellement. Personne n’a imprimé à ses personnages autant de grâce, de sérénité sur les visages, jamais on n’a pu lire une telle absence d’anxiété jusque dans les scènes de violence, de guerre.
21:25 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
As-tu lu le livre de Christian garcin sur lui Ray?
Écrit par : Calou | dimanche, 13 novembre 2005
Non, lequel ?
Écrit par : Ray | dimanche, 13 novembre 2005
Piero ou l'équilibre, L'Escampette, 2004
Écrit par : Calou | dimanche, 13 novembre 2005
Merci, un éditeur intéressant en plus !
Écrit par : Ray | dimanche, 13 novembre 2005
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