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lundi, 01 août 2005

Le corps au coeur des remous d'Avignon

Au coeur des remous : le corps, ou, plus exactement, la question de ses représentations. Ce corps, le public d'Avignon, fort platonicien, ne veut pas en entendre parler. Il ne veut pas le voir, surtout lorsqu'il s'éloigne un tant soit peu des rôles que lui a écrits la belle langue française, ou des partitions chorégraphiques académiques. Il ne veut pas le considérer hors de la place qu'il lui estime dévolue : celle de l'icône, celle de producteur d'énergie et de mouvement (jamais immobile), celle de garde-fou des identités sexuelles (définies dans le pas de deux), des pouvoirs (le premier étant la règle des canons de la beauté). Figer cette image du corps des artistes, c'est le nier. Voilà ce qui, dans cette polémique dont nous n'acceptons pas les termes, constitue le vrai débat. Evacué.
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14:20 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0)

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