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"Fin janvier 1872. Dans l'entresol d'une brasserie du quartier Saint-Sulpice, les Vilains Bonhommes récitent des sonnets académiques ; Rimbaud, du fond de la salle, ponctue chaque vers d'un Merde retentissant."
Alain Borer, Rimbaud l'heure de la fuite.
03:50 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (10)
Commentaires
MERDRE !
Écrit par : Alfred | mardi, 21 juin 2005
Crotte et zut!
Écrit par : Henri GROUÈS | mardi, 21 juin 2005
Demandez nos exquis mots !
Écrit par : Ray | mardi, 21 juin 2005
Je vais nettoyer le ciel de tous les nuages ! Il n'y a ni cas ni cul qui tienne !
Écrit par : Sarko | mardi, 21 juin 2005
Sarko ci-dessus, t'es bien le mari de Cécilia ???
Si oui, sur ce site, ça me fait peur!…
Écrit par : P.A.G | mardi, 21 juin 2005
N'ayez pas peur ! Je vais nettoyer tous les sites et les sites de sites de toutes les cités ! Et hop ! Ô la bella Céciliana, thcika-tichka-tichk aïe aïe aïe ! L'éternuement est inutile !
Écrit par : Sarko rit | mardi, 21 juin 2005
Sarko sale con
Je fais que passer, chères Merdes.
Écrit par : Rick Hunter - Président des saoulréalistes du Hainaut | mardi, 21 juin 2005
À moi, con, deux maux ! Et toc, en Gilbeque y paraît que c'est la fête à la zizique aussi ? Ici je joue du pipo à l'œil, sympa hein ?
Écrit par : Kradosy | mardi, 21 juin 2005
Le pipeau (et non "pipo") c'est à la bouche qu'il faut le mettre pour bien en jouer et non à l'œil.
À moins que ce ne soit du piepau Belge ?
Écrit par : P.A.G | mercredi, 22 juin 2005
D'ac', P.A.G, mais tu as remarqué que je simplifie tout, non ? Alors pipo, j'assume ! C'est ça la force de mon langage, il est réduit à quelques mots, pas d'adverbe, pas de fioritures, rien que du béton armé, c'est tout ! Et tout ça à l'œil ! Que demande le peuple ?
Écrit par : Karzo | mercredi, 22 juin 2005
Les commentaires sont fermés.