lundi, 12 novembre 2012
Je n'y suis pour Bergson
« Nous tendons instinctivement à solidifier nos impressions, pour les exprimer par le langage. De là vient que nous confondons le sentiment même, qui est dans un perpétuel devenir, avec son objet extérieur permanent, et surtout le mot qui exprime cet objet. »
Henri Bergson
Peinture Gildas Pasquet
14:18 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bergson, gildas pasquet
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