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mercredi, 27 mai 2009

La Commune de Paris

courbet2.jpgParis est un vrai paradis : point de police, point de sottises, point d'exaction d'aucune façon, point de disputes. Paris va tout seul comme sur des roulettes, il faudrait pouvoir rester toujours comme cela, en un mot c'est un vrai ravissement.

Gustave Courbet

L'Atelier (détail)

00:14 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : gustave courbet

Commentaires

D'habitude, le peintre regarde son modèle, mais ici il peint autre chose que son modèle qui pour une fois regarde ce qu'il fait, en spectatrice ; en fait nous sommes les seuls à la regarder, comme si le peintre nous faisait un cadeau.

Écrit par : Marc LARIVIERE | mercredi, 27 mai 2009

Erreur de ma part, il y a à droite du tableau un personnage qu'on ne voit qu'à moitié et qui n'a d'yeux que pour le modèle...

Écrit par : Marc LARIVIERE | jeudi, 28 mai 2009

Au pied du gamin qui regarde la femme (ou le peintre ?), il y a une bêbête qui matte la dadame. Non ? Un chat épileptique ?

Et le peintre, n'aurait-il qu'une jambe, la gauche ? Non ! On devine, sous la chaise, qu'il écrase du pied droit les orteils de la dadame ! C'est ce qui la fait sourire.

Écrit par : Éric | jeudi, 28 mai 2009

Si c'est le pouce du peintre qui jaillit de sa palette, il s'agit du premier HGM ! Mais ce n'est sans doute qu'un effet d'optique,

Écrit par : Éric | jeudi, 28 mai 2009

le gamin admiratif regarde le peintre et non la femme, mais il se force dans cette attention unique, d'où son attitude rigide amusante, je crois...

A ses pieds, un loulou blanc s'amuse à regarder plutôt un insecte à ras de terre, mais grâce à lui, je suppose que le peintre a voulu aussi décrire un cercle, (ou ovale plutôt) qui remonte vers la tête de la dame et redescend sur la toile et la tête du gamin... sans doute pour créer une intimité des personnages dans cet atelier ouvert... mais, j'arrête de fabuler sinon Eric va me mettre en boite à nouveau !

Écrit par : Marc LARIVIERE | vendredi, 29 mai 2009

Pas de problème, Marc ! Je ne mets pas en boîte, je vide plutôt les bouteilles ! Sans toi, j'aurais manqué l'étrange demi-personnage qui mate le derrière de la dadame !

Écrit par : Éric | vendredi, 29 mai 2009

Le demi-personnage peut paraître étrange si on oublie qu'il est étranger au petit cercle rapproché autour du peintre. Un ou un demi, peu importe... et aussi, ça laisse supposer l'étendue de l'atelier et d'autres présences.
C'est donc un quidam quelconque qui mate le derrière de la dadame, comme tu dis Eric, Un de ces visiteurs d'atelier, non familier, qui reluque tout à sa portée, sauf peut-être le tableau. (cf : les vernissages)

Écrit par : Marc LARIVIERE | samedi, 30 mai 2009

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