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lundi, 10 novembre 2008

Comment les écrivains français gagnent leur vie

Lire ici cette enquête de Rue89, assez sommaire, et qui oublie de mentionner, comme toujours en pareil cas, ceux qui ne gagnent pas leur vie !

Commentaires

C'est lamentable. N'étant pas écrivain, je peux me permettre de juger en tant que lectrice. Vous avez vu qui sont les auteurs qui se vendent le mieux ? Nothomb, Gavalda. Vous appelez vraiment leurs "oeuvres" de la littérature ? Moi non.

A qui la faute ? Aux éditeurs qui ne font aucune promotion des auteurs pas encore célèbres et aux lecteurs qui se contentent de lire des livres médiocres.

Et les prix littéraires ? C'est bien de récompenser des auteurs étrangers, "ça le fait", ça montre à quel point nous sommes ouverts et généreux, et pas racistes, mais il faudrait qu'il y ait deux prix à chaque fois, un pour les auteurs du crû et un autre pour les étrangers. Et puis il faudrait surtout qu'on récompense vraiment un auteur et son ouvrage, et pas un éditeur !

Je ne sais plus très bien comment on écrit cru, crû???????? :-)))

Écrit par : marie | lundi, 10 novembre 2008

Quand on n'est pas cru, on est cuit !

Écrit par : Ray | lundi, 10 novembre 2008

Bonsoir,
Je vous remercie de ce lien que je risque -si cela ne vous ennuie pas- d'emprunter pour mon blog afin de rédiger un article demain.
Oui et ceux qui ne peuvent vivre de leurs mots ?
Je ne sais plus quel écrivain connu avait fait le test suivant :
Envoyer son manuscrit sous son vrai nom à un éditeur : OK réponse positive pour publication.
Puis il envoie le même document à une autre maison d'édition mais sous un nom inconnu : réponse négative, pas de publication.
....
Florentine.

Écrit par : Florentine | lundi, 10 novembre 2008

oui bien sûr, ça ne m'ennuie pas !

Écrit par : Ray | lundi, 10 novembre 2008

Il était une fois la vente de l'Assomoir qui avait suffit à Médan... ou celle de la Peste à une maison dans la Sorgue...

Écrit par : Léopold | mardi, 11 novembre 2008

Entre nous, cela donne plus une image, au demeurant assez détestable, de la mondanité parisienne que de la littérature.
Tous ces gens, pas grand chose à voir avec ce que sont les livres. On peut se passer d'eux...

Écrit par : solko | mercredi, 12 novembre 2008

"ce sont de drôles de types qui vivent de leur plume, ou qui ne vivent pas, c'est selon la saison" !

J'avais pensé à toi et à ceux-là en lisant l'article ce week-end. Sur cet autre site



comme si ça ne suffisait pas, on a des précisions !

Écrit par : gazelle | mercredi, 12 novembre 2008

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