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"Je n'aime pas le nihilisme. Je déteste le ressentiment et la mélancolie qui va avec. Et je pense que la littérature ne vaut qu'à contrarier ce dépressionnisme qui est, plus que jamais, le mot de passe de notre époque."
Bernard Henri-Lévy, Ennemis publics
00:20 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : littérature, nihilisme, bhl, ennemis publics
Commentaires
Je reste sceptique sur cette association nihilisme mélancolie. Le ressentiment est certainement un élément de notre époque, de là à en faire le mot de passe. Il y a dans le nihilisme tout un culte festif qui s'impose de lui-même et cherche voire finit selon les oeuvres à triompher de la mélancolie. Le nihilisme s'est crée sur les larmes mais son but ultime se situe bien plus dans le rêve.
Écrit par : Léopold | jeudi, 09 octobre 2008
Qui balance une nouvelle tarte ?
Écrit par : Éric | jeudi, 09 octobre 2008
A propos du phénomène du bouc émissaire, du même : "il est ce phénomène consitutif du lien social et il l'est davantage que, mettons, l'amour, le contrat ou l'universelle sympathie des hommes envers les hommes, évidemment."
Écrit par : Ray | jeudi, 09 octobre 2008
Les commentaires sont fermés.