dimanche, 29 avril 2007
J'entrai dans la grande harmonie de la nature
J'entrai dans la grande harmonie de la nature, du printemps et des fleurs. Rien n'avait été posé là par hasard, c'est ce qui en faisait toute l'harmonie, parce que justement, on avait la sensation, presque la certitude que tout avait été posé là par hasard.
22:55 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : photo, littérature, Jean-Louis Bec, Raymond Alcovère
Commentaires
Ces lignes de prose poétique me parlent car elles disent ce que je ressens devant la nature, le seul lieu où ma spiritualité n'a pas toujours en arrière plan comme une envie d'ironie. Et pour moi le hasard n'est pas ironie il est nécessité, il est jeu divin. Amitiés.
Écrit par : ariaga | lundi, 30 avril 2007
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