samedi, 10 mars 2007
Le passage des enfances
Nous ressemblons à présent à ces hautes demeures, dont les murs ficelés de lierre se dépêchent de vieillir, comme pour mieux cerner le passage des enfances.
Jean-Luc Aribaud. Les mondes illimités. L'arrière-Pays, 1998
Tableau de Frédérique Azaïs
09:15 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : art, peinture, poésie, Jean-Luc Aribaud, Frédérique Azaïs
Commentaires
Superbes. Et le texte et l'illustration.
Merci pour le partage, Ray.
Mireille
Écrit par : Mireille Disdero | samedi, 10 mars 2007
Bsr amigo!
Elle est belle cette toile de Frédérique.
Longue vie et succès aux Nouvelles de la révolte. A bientôt.
Bon we
Écrit par : Bona | samedi, 10 mars 2007
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