vendredi, 19 janvier 2007
Carnets indiens, avec Nina Houzel (11)
C'est si calmant de se représenter les choses! Ce qui est affreux c'est ce qu'on ne peut pas imaginer
Marcel Proust
Photo : Nina Houzel
13:07 Publié dans illuminations | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : Photo, littérature, art, Nina Houzel, Proust, imagination
Commentaires
ce rouge à lèvre couleur flamboyant dans le rouge du sari et le vert du jardin est on ne peut plus seyant!
Écrit par : aloredelam | vendredi, 19 janvier 2007
Ce n'est pas un sari, mais un dupata, le long foulard du salvar kameez qui est le deuxième costume traditionel des femmes indiennes. On le trouve plutôt dans le nord de l'Inde. Au Pakistan aussi. Les femmes plus jeunes, plus modernes, le portent souvent parcequ'il est plus pratique que le sari. Bien à vous...
Écrit par : nin | vendredi, 19 janvier 2007
très juste ça ne ressemble pas du tout à un sari , et il ne s'agit pas du tout de flamboyant non plus , mais je ne sais pas de quelle essence il s'agit (!) mais la photo est très belle et cette jeune personne aussi
Écrit par : aloredelam | vendredi, 19 janvier 2007
quel belle phrase de Proust , plus j'y réfléchi plus je suis frappé par la vérité de la pensée derrière ces mots ,
est ce que nin pourrait me dire quels sont ces arbres rose mauve que l'on voit surses photos , certes pas des famboyants qui sont rouges écarlates , mais quoi ?
et bravo encore pour ces phtos si humaines avec en arrière plan toujours cette nature métaphysique , poétique , ce n'est pas parce que je blague que je n'y suis pas sensible , l'un n'empèche pas l'autre.
Écrit par : aloredelam | samedi, 20 janvier 2007
Mais c'est qu'il est toujours comme ça le Marcel, profondeur et netteté !
Écrit par : Ray | samedi, 20 janvier 2007
Ces arbres sont des jacarandas!
Écrit par : nin | lundi, 22 janvier 2007
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