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jeudi, 12 janvier 2006

(Mais les haïkaïs m'alourdissent)

je me sens léger

quand j'écris un poème

de trois vers

Hozan Kebo

(Extrait de : The (ya) Basta of H.K. Hors-série de la revue Microbe)

18:41 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)

Commentaires

c'était une pointure ton Kebo

Écrit par : lesamourirderire | jeudi, 12 janvier 2006

Les commentaires sont fermés.