mercredi, 26 octobre 2005
Le démon
Au dessus d'un massif de pois de senteur, je la regardais. Elle n'était pas tellement belle. Son visage, d'une charmante polychromie, s'était trop écrasé contre d'autres visages. Mais une bouche, bonne auberge. Des cheveux comme de la musique. Le démon.
Paul Morand, Céleste Julie
10:31 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
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