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mardi, 30 août 2005

Quarante

"La vie commence à cinquante ans, c'est vrai ; à ceci près qu'elle se termine à quarante."

Michel Houellebecq, la possibilité d'une île

Commentaires

ah...

Écrit par : Calou | mardi, 30 août 2005

Ben, euh... j'en déduis qu'à 47 ans demain, je ne suis plus encore pas nulle part... C'est ça, Ray ?

T'as vu, ça refonctionne.

Écrit par : Rick Hunter - Président des saoulréalistes du Hainaut | mardi, 30 août 2005

demain ! le jour de sortie de "la possibilité d'une île" ! c'est un signe tu crois pas ! au demeurant ta phrase me paraît un peu confuse, enfin surtout fuse

Écrit par : Ray | mardi, 30 août 2005

je bois à ta santé Rick, moi c'était il y a quelques jours, tu es aussi vierge que moi !

Écrit par : Ray | mardi, 30 août 2005

Bon la note qui arrive sur le développement personnel elle est spécialement pour toi et tes 47 ans Rick

Écrit par : Ray | mardi, 30 août 2005

"Marre d'en avoir assez, halte à la morosité, stop à l'immobilisme ! La meilleure façon de s'opposer c'est aussi de proposer."
C'est pas de moi, (mais alors, qu'est-ce que j'adhère !) c'est sur le prospectus pour un spectacle jeune public qui passe au village d'à côté.

Écrit par : Roland Fuentès | mardi, 30 août 2005

Bon anniversaire chères vierges ! Mon mari aussi, l'est ;-)...

J'adhère aussi Roland!

Écrit par : Calou | mardi, 30 août 2005

J'adhère aussi, c'est quoi les propositions ?

Écrit par : Ray | mardi, 30 août 2005

C'est à chacun d'en faire, Ray. Je vais pas te mâcher le travail, non ?

Écrit par : Roland Fuentès | mardi, 30 août 2005

On se demande vraiment où il va chercher toutes ces conneries Houellebecq, hein!

Écrit par : P.A.G | mardi, 30 août 2005

ô PAG, comé vaï ? Fait longtemps !
Je vais te le dire où il va les chercher : il a compris que la tendance marchande est aux petites phrases mortifères, genre dégoût de la vie, et d'autres ont compris que ça pouvait faire du blé, le dégoût de la vie. Voilà. Un pur produit destiné à booster les ventes, et qui est en train de nous déglinguer notre Raymond !

Écrit par : Roland Fuentès | mardi, 30 août 2005

Ah oui je me meurs, ah puissé-je vivre jusqu'à demain matin pour aller acheter mon houellebecq...

Écrit par : Ray | mardi, 30 août 2005

Bon, j'aurai fait tout mon possible.
Requiescat in pace, Raymond. On t'aimait bien !

Écrit par : Roland Fuentès | mardi, 30 août 2005

Oui merci c'était beau

Écrit par : Ray | mardi, 30 août 2005

Oui, bon, Raymond, si tu nous cites tous les gens qui aiment Bec, tu risques d'en avoir pour longtemps ! Ça ne me le fera pas plus apprécier.
Moi je vais me replonger dans mon Dominique Mainard (Le ciel des chevaux, chez Joëlle Losfeld, fameux pour l'instant), et puis en attendant la parution imminente du prochain Eric Faye je m'enverrai peut-être du Boulanger, du Réda ou du Grass (Ben non, je les ai pas encore tous lus, c'est qu'ils en ont écrit, les animaux !). J'ai une telle pile de bons auteurs contemporains à lire que je sais jamais trop par lequel continuer.

Écrit par : Roland Fuentès | mercredi, 31 août 2005

Tu fais comme tu veux, c'était juste parce que tu usais du "on", mieux vaut dire "je" qui est un autre lui aussi, et c'est là que ça se complique, mais c'est une autre histoire...

Écrit par : Ray | mercredi, 31 août 2005

Ok, alors on va la refaire avec "je" :

Requiescat in pace, Raymond. JE t'aimais bien.

Voilà. (Mais, heu, je sais que je suis chiant, mais quand je pense aux autres, à ceux qui fréquentent assidument ce blog, j'ai quand même l'impression que JE t'aimaient bien aussi... Bon, c'est juste une impression, et JE ne sont peut-être pas d'accord, va savoir.)

Écrit par : Roland Fuentès | mercredi, 31 août 2005

Comme il est dit dans "Le Guépard" de Lampedusa : "il faut que tout change pour que rien ne change", parfois il faut mourir à quelque chose pour renaître, tu me suis ?

Écrit par : Ray | mercredi, 31 août 2005

Je verrais bien ça en scenario de SF, puisque tu aimes, un truc du genre : "Ray le mutant", ou quelque chose comme ça. L'histoire d'un type charmant et hyper positif, le joyeux drille quoi, qui lit un bouquin maléfique et qui devient cynique, désabusé, aigri.
Après on pourrait même se faire du blé en sortant, à raison d'un épisode par an : "Ray le mutant II", "Ray le mutant III", etc...

Écrit par : Roland Fuentès | mercredi, 31 août 2005

Pas de problème, je ne serai pas gourmand, 70 % des droits d'auteur me conviendront tout à fait

Écrit par : Ray | mercredi, 31 août 2005

70 % de droits d'auteur ? Ça c'est vraiment de la SF !

Écrit par : Roland Fuentès | mercredi, 31 août 2005

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