vendredi, 14 décembre 2007
Ma Chine à écrire...
« Allons, machine...[« Ma Chine » ? Oui, si l’on pense à la séquence de Paradis ici rejouée dans une autre situation, un autre lieu : Venise. Mais surtout « machine à écrire » comme le veut l’exergue de Faulkner : « Possède sa propre machine à écrire et sait s’en servir ».]
03:13 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Chine, machine à écrire, Philippe Sollers