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samedi, 01 novembre 2014

A propos de "Voltaire contre-attaque" de André Glucksmann

« Le Vieux Continent fait soudain son âge, il se plaint, il s’alarme de la déferlante des nouveaux venus, il s’inquiète de lui-même et se méfie comme de la peste d’une planétarisation des rapports humains qu’il a lui-même initiée », écrit Glucksmann, rappelant que « la mondialisation, c’est le feu de notre civilisation qui, après avoir consommé et consumé l’ensemble des autres continents, nous panique dans un retour de flamme pour le moins ironique ». 

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