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vendredi, 20 janvier 2012

Il y a deux façons de dissimuler une chose

500079989_3986d509bb.jpgOn a coutume de dire qu’il y a deux façons de dissimuler une chose : en la cachant absolument ou en la mettant en pleine lumière. Les archives secrètes de l’Organisation combinaient en quelque sorte les deux stratégies. Pour y accéder, il fallait passer par la Biblioteca Nazionale Marciana, sur la Piazzetta de Venise, un des lieux les plus fréquentés de la planète où des nuées de touristes et de visiteurs se pressent toute l’année. 
Une fois à l’intérieur de la vénérable institution, muni du type de badge bien particulier dont disposait Johan, on est dirigé, entre les colonnes de marbre rose et les plafonds en stuc vers le bureau du Conservateur. On franchit un long couloir, puis, une autre secrétaire, au vu du badge, indique une antichambre, qui ouvre les portes des fameuses archives. 
La Biblioteca Marciana contient une des plus belles collections de manuscrits du monde. Elle est hautement sécurisée. La partie réservée à l’Organisation l’est encore plus.
Extrait de "Rien compris au rock and roll", polar, Raymond Alcovère

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