lundi, 23 novembre 2009
Une affection
Plus je vieillis et plus je trouve qu'on ne peut vivre qu'avec les êtres qui vous libèrent, qui vous aiment d'une affection aussi légère à porter que forte à éprouver.
Albert Camus, Correspondance avec René Char, 1946-1949, Gallimard.
00:10 Publié dans Grands textes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : albert camus
Commentaires
Quand un gamin de douze ans te clache de l'encre dans le dos pendant que tu écris au tableau pour lui apprendre...
Écrit par : Éric | mercredi, 25 novembre 2009
Les commentaires sont fermés.