mercredi, 14 février 2007
Ce qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît
Le spectacle se présente comme une énorme positivité indiscutable et inaccessible. Il ne dit rien de plus que « ce qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît ». L'attitude qu'il exige par principe est cette acceptation passive qu'il a déjà en fait obtenue par sa manière d'apparaître sans réplique, par son monopole de l'apparence.
Guy Debord, (1931-1994) La société du spectacle
Quartier de la Plaine, février 2007 ; Photos : Gildas Pasquet
12:55 Publié dans Société du spectacle | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Guy Debord, Société du Spectacle, Gildas Pasquet
Les commentaires sont fermés.