Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 24 juillet 2006

Mon pays bien plus doux que l'épaule qu'on aime

Ce vers est extrait d'un poème de Nadia Tueni, poètesse libanaise, à lire ici, sur le blog de Kalima

15:01 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : poésie, Liban

Commentaires

Ce poème est magnifique !
On oublierait presque la réalité , faut dire que je suis une véritable "éponge" !

Écrit par : khate | lundi, 24 juillet 2006

La réalité c'est aussi ça !

Écrit par : Ray | lundi, 24 juillet 2006

Les commentaires sont fermés.