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vendredi, 07 octobre 2005

Une lumière d'or

Il n’y a pas d’âme, ni moi, ni autre, balivernes… Il y a le tout, l’éternité est l’invisible. Le monde est joie. L’informulable est le silence, et le bruit fondamental qui emplit l’espace. A un moment on ne peut rien entendre d’autre que cette présence, si fine, innervée partout, le monde est réduit en poussière et recouvert d’une lumière d’or.

Commentaires

L'éternité est le rêve des milliardaires. Ils y arriveront.

Ils n'ont pas lu Michael Moorcock qui, il y a une trentaine d'années, s'est intéressé au sujet. Aurait-il été Français et dénommé Welbek, Cléopâtre se serait appelée Pine-aux-chiots.

Lire aussi René Barjavel : "Le grand secret". Mais Moorcock est allé beaucoup plus loin.

Écrit par : Rick Hunter | vendredi, 07 octobre 2005

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