jeudi, 29 septembre 2005
L'union de la terre et de l'eau
Oui, je crois que c'est à force de mettre les pieds dans le plat que nous déméritons de la vie éternelle. Le temps il faut l'aimer sinon il a honte, il se cache sous des grimaces et on ne sait plus où le trouver, il faut le valser, le danser en tournant mais en se décalant à l'oblique à chaque tour, alors là, quand c'est vraiment parti, on ne touche plus sol, c'est la grande joie !
(Ces mots de Alina Reyes, dans un commentaire d'une de ses notes : l'oblique beauté du temps)
07:30 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
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