jeudi, 31 mars 2005
La ville a mis sa robe de plaisir
C'est ainsi les jours de printemps, on sait bien que rien n'a d'importance, corps alanguis, désirs flottant sur les sourires, regards en coin, un rien de lenteur dans les démarches, la ville a mis sa robe de plaisir
13:44 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Période de ruthe à prévoir...Priez pour que les chats fassent pas trop de turbulances!
Depuis une deuxième vague de rires qui monte au foin.
Écrit par : L'insolent verlainee | vendredi, 01 avril 2005
Printemps : toujours le retour
Le printemps est de retour. Les minijupes refleurissent aux cuisses des femmes. Certains messieurs en ont les yeux qui leur sortent de la tête. C'est très désagréable : même en marchant prudemment, j'en ai écrasé trois ce matin.
Extrait de "Contes de la poésie ordinaire" (Memor)
Écrit par : Eric Dejaeger | vendredi, 01 avril 2005
C’est le printemps. La mise à l’aire des gambettes féminines fait rompre la paix des sens chez de nombreux hommes. Les mains descendent à l’intérieur des slips pour soupeser le pour et le contre des choses. Quelle manie ! Moi, tant qu’ils ne se grattent pas sur mon compte, ça me va.
Écrit par : Calou | vendredi, 01 avril 2005
Le printemps, vient s'engoufrer dans mon plasma, par mes pores dilatés.
Mon sang, chaud bouillant, fait valser les hormones, et je sens le désir monter en puissance.
Alors que les fesses fraiches et rondes me font des petit clin d'oeuils dans la pampa, je bois de l'eau car j'ai soif....
J'ai soif de la vie.
J'ai pas soif des strings acidulés, qui fissèlent viscieusement des fesses mouvantes.
Mais je vois bien les voyeurs, qui braquent des seins, par des regards furtifs, frôlant l'atteinte à la pudeur.
C'est à cette époque que le mâle ressent bien la pesanteur s'exerce sur ses couilles.
Depuis un glaçon qui boîte de nuit.
Écrit par : L'insolent verlaine | vendredi, 01 avril 2005
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