jeudi, 17 février 2005
Pour Joëlle
Ciel noir. Abîme rendu. Ivresse, ivresse. Ciel pâle. Orgasme rendu. Tu pars, tu pars. Le ciel s’épanche. Encore. La nuit s’échappe, s’enfuit. Le temps défile mais impossible de le rattraper. Une trouée. Aurore en même temps, or du temps. Tout depuis la plus simple émotion jusqu’à l’abîme total ramène à ce sentiment inconcevable de l’absence.
22:36 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
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