Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 04 avril 2006

Il faut que notre génération s'engage dans toutes les sphères de décision de ce pays

Notre jeunesse doit enfin participer à la modernisation du système éducatif archaïque. Elle doit s'activer à la création de nouveaux syndicats afin de relooker un syndicalisme français complètement dépassé qui a largement contribué à bloquer ce pays et précarisé la jeunesse par de nombreuses décisions d'un autre temps, notamment au niveau éducatif.

Notre génération doit également s'engager dans les partis politiques afin de changer l'échiquier sénile. Elle doit aussi à tout prix créer de nouveaux médias, aidée des nouvelles technologies, afin d'apporter de nouveaux moyens d'expression, de donner la parole à une jeunesse non représentée. Elle doit s'activer dans la création de nouvelles entreprises pour s'attaquer de front, et avec force, à la mondialisation. Enfin, elle doit aussi renouer avec cet élan créatif artistique si important que ce pays est en train de perdre.

Article à lire ici

08:12 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (10)

Commentaires

" La sécurité de l'emploi, c'est aussi se faire chier toute sa vie."

CERTAINS ONT CHOISI DE SE FAIRE CHIER AU BOULOT CAR EN CONTRE PARTIE ILS ONT DU TEMPS POUR EUX (LES FONCTIONNAIRES PAR EXEMPLE). JE NE PARTAGE PAS CETTE FORMULE MAIS IL NE FAUT PAS LES OUBLIER.

"La révolte générationnelle est pour l'instant une révolte de façade."
SI LES GENS N'ONT PAS ENCORE COMPRIS QUE LES NOUVELLES EMBAUCHES SE FONT MEME POUR LES CADRES SUR DES CDD DEPUIS DES ANNEES, C'EST QU'ILS FERMENT LES YEUX SUR LA REALITE DU MARCHE DU TRAVAIL EN FRANCE. DONC OUI C'EST UNE REVOLTE D'AUTRUCHES.

Écrit par : Calou | mardi, 04 avril 2006

Non ce n'est pas une révolte d'autruches, oui surtout ne fermons pas les yeux, il y a peut-être autre chose derrière "la réalité du marché du travail en France", c'est là qu'il faut creuser !

Écrit par : Ray | mardi, 04 avril 2006

je suis dubitatif,
1 : l'élève peut il créer lui même son école?
2 : relooker les syndicats? un coup de peinture?
3 : l'échiquier est sénile ? c'est la faute au territoire lui même, à la règle, a la stratégie..enfin...
4 : la parole a une jeunesse non représentée ? le monde n'a d'yeux Que pour les jeunes
5 : s'attaquer à la mondialisation grâce aux nouvelles techniques mondialisées et mondialisantes?
6 / quant à l'élan artistique il n'est, curieusement, jamais aussi vif que dans l'adversité, les subventions étatiques tuent la création, la multiplication des "zartistes" n'a créer qu'a masquer disparition des créateurs, les vrais, les originaux, la crise chie de l'art, fait le tri, quand les rats quitte le navire du spectacle
je ne sais pas qui à écrit ce tissu de bètises, c'est un beau collier, une synthèse de l'imbécilité,
j'imagine que c'est unfruit du système scolaire et politique français, alors là oui, d'accord, mais une réforme ne suffira pas, que le tas de boue explose une bonne fois pour toutes, que les révolutionnaires du négatif s'entredévorent...tout ce que vous gagnerez c'est un régime autoritaire...il est loin le temps du ciel bleu..nous ne seront donc jamais en paix..

Écrit par : cheval blanc | mardi, 04 avril 2006

Faut arrêter d'utiliser des mots ressassés sans aucun sens, des mots vides, des mots d'intellos bien au chaud qui ne se sont pas fait licencier deux fois en trois ans pour dire "la réalité du marché du travail en France", c'est là qu'il faut creuser ! Le creux est une abîme depuis des années et tous ceux qui bossent dans une société privée le savent depuis longtemps!

Écrit par : Calou | mardi, 04 avril 2006

eh oui "la société est un crime commis en commun", ne l'oublions pas !

Écrit par : Ray | mercredi, 05 avril 2006

Ce doit être fatiguant d'entretenir un blog pour assener des sottises à longueur de journée...Vous ne savez même pas de quoi vous parlez. Entubés par le rpivé qui a horreur du travail, puisqu'il remplace les ouvriers par des machines, vous êtes jaloux de ceux qui ont une vie digne de ce nom. On n'est pas baptisés ni au nom de la frabce, ni du travail; d'ailleurs, bibliquement parlant, le travail n'est qu'une malédiction !
Le méthane contenu dans le permafrost qui font est entrain de se libérer à cause du rechauffement climatique. Ce qui signifie que tout votre "travail" ( sagouinage universel) n'aura servi à rien ! Grotesque...

Écrit par : kgegR | mercredi, 05 avril 2006

Détrompez-vous, j'ai une forme éblouissante ! Je serais heureux de connaître ceux qui ont une vie digne de ce nom, qui sont-ils ? Oui c'est vrai j'en serais presque jaloux tiens ! Vos mots sont un peu confus, mais amusants tout de même, j'avoue être assez fasciné par ces gens qui écrivent des messages d'insulte, en général incohérents, un peu d'ennui peut-être ?

Écrit par : Ray | mercredi, 05 avril 2006

Les prouesses de l'araignée

Contrairement à l'alpiniste au bout de sa corde, l'araignée au bout de son fil ne tourne jamais sur elle-même. Intrigués par ce phénomène, des chercheurs du laboratoire de physique des lasers (CNRS-université de Rennes) ont étudié les réactions du fil d'araignée à la torsion, et ont conclu qu'il s'agit d'un matériau à «automémoire de forme», constitué d'un emboîtage particulier de protéines qui lui permet de retrouver constamment sa configuration initiale, sans aucun stimulus extérieur. Aucune des fibres synthétiques créées par l'homme n'est dotée de cette propriété.

Écrit par : Calou | mercredi, 05 avril 2006

"Il faut lutter contre une nation qui crachera toujours à la gueule de ses petits-enfants pour obtenir un profit immédiat. " (HARRISON Jim, Entre chien et loup, Paris, 10-18, 1994, 61)

ALIRICI

Écrit par : Éric Dejaeger | jeudi, 06 avril 2006

"Entubés par le rpivé qui a horreur du travail, puisqu'il remplace les ouvriers par des machines, "

"Comme celle de Lorient, les quelques expériences d'usine (une conserverie de poissons) que j'ai pu connaître m'ont confirmé qu'il n'y avait pas pire esclavage salarié que celui qui casse l'individu en deux, corps d'un côté, esprit de l'autre, ce dernier anesthésié par l'ennui d'une tâche répétitive privée d'intéret. La fatigue n'est rien, comparée à la désubstantialisation mentale provoquée par la mécanisation d'un travail dans lequel il est impossible de projeter la moindre part spontanée de soi-même. Du reste, la plupart des emplois subalternes de bureau ne valent guère mieux. Ce constat est le meilleur argument en faveur du machinisme. On ne devrait jamais confier à des êtres humains ce qu'une machine sait faire ou peut apprendre à faire. Voilà un principe d'économie politique dont on gagnerait à assurer la promotion, au lieu de voir systématiquement dans les machines des concurrentes de l'homme sur le marché de l'emploi."

Extrait tiré du Vagabond approximatif de Georges Picard. Editions José Corti 2001, pages 166-167.

Écrit par : Calou | vendredi, 07 avril 2006

Les commentaires sont fermés.